B2K CD01 MOUSE history vol1

Je cherche quelqu'un qui aurait deja ecouté l'album de Mouse sur B2K pour savoir ce qu'il en pense!

Tekno ou Hardcore : : : : : : : :

c'est du mouse.

c'est pas du nouveau, c'est des morceaux déjà sorti en vinyl donc je suppose que tu dois déjà les connaitre ? Mais c'est un cd sympa

Je ne connais que les morceaux du Homicid 05 et vu que ce sont de vieux morceuax qu'il y a sur l'album ça m'etonnerais qu'il soient inclus!

J'essayerai d'aller l'ecouter 1 de ces 4! :

c'est du mouse.

remarque positive ou negative : : :

quand je sors ce genre de phrase c'est pour exprimer mon profond respect pour sa musique. Je ne dirais jamais que cette album tire plus sur telle ou telle style, ce n'est pas du hardcore, c'est du mouse.

Unique.

quand je sors ce genre de phrase c'est pour exprimer mon profond respect pour sa musique. Je ne dirais jamais que cette album tire plus sur telle ou telle style, ce n'est pas du hardcore, c'est du mouse.

Unique.

d'apres ta reponse je crois que je dois me faire une idée tout seul comme un grand!!!

écoute possible chez apocalypse

Merci pour l'info!!!

Chroniqué sur Signal-Zero à l'époque de sa sortie :

www.signal-zero.info/Mouse-History-1995-1997-Volume-1.html


(Double chronique pour ce disque qui le mérite bien) :

Fonderies titanesques, usines fantastiques, falaises de métal en écroulement, machineries géantes sans la moindre pièce caoutchouteuse.

Broyage, concassage, roulement, piscines d’objets pointus et incisifs, lacs de matière sonore.

Le temps se transforme en espace, et malgré l’hypnose engendrée par une écoute entière (et attentive) de ce disque, ne croyez pas que la route que vous emprunterez dans ces landes abstraites soit rectiligne. Au contraire, arbitrairement, elle bifurque, étonnant l’auditeur par tant de ressource. Le temps est de l’espace, un espace de dimension infinie dans lequel toute représentation concrète devient inutile. Le temps est respiration, haletante, jamais apaisée, toujours rapide. Il est heureux qu’on n’emprunte pas toujours le chemin le plus court pour atteindre son objectif. Mais quel objectif ? Mais quel objectif !

Autant se laisser aller, plonger dans cet univers, patauger dans le métal sonore et gober tout rond les kicks implacables. Autant savourer ces morceaux à la structure à la fois chirurgicale et évasive, mélange subtil qui (presque) seul donne de la poésie à la musique.

Et se dire que, non, la nostalgie n’est pas de mise, et que tout ceci semble incroyablement frais et actuel.

Ne payez plus des sommes astronomiques pour des vynils usés et craquants. Procurez vous ce premier morceau d’histoire de Mouse que nous propose Born 2 Kick. Mettez une des ses pistes dans vos sets aussi souvent que vous en ressentirez le besoin.

OlgaZzz

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Mouse, liveuse et compositeuse administrée comme une gifle parfaite par la Toulouse hardcore d’il y a dix ans.
A Paris, les récits terribles de soirées toulousaines pas mégoteuses sur le taux en mystère de leur ambiance ramollissaient les caleçons des chefs de faction. Là-bas, c’était réellement dur. Ils commençaient leurs sets à 240bpm. L’étiquette « Made in Toulouse » sur un disque suffisait à en faire un gri-gri avec lequel jouer à la légère exigerait un tribut pas innocent. Que reste-t-il de cet arc de tension ? Quelques grands foudroyés du cerveau, deux ou trois mixtapes Stormcore dormant au fond du placard, une poignée de disques - le Fraktal 1 de Mouse en tête. Un des disques au son les plus sourds de la décennie passée. Miracle de la mise en CD de 12 morceaux de la fée de là-bas : la remasterisation révèle des sons indétectables à l’époque. Egalement présents sur le CD : les morceaux des Fishkopf 18 et 22.
Rapidité certes. Noirceur sans doute. Industriel oui oui. Spectral ha ha. Empilage de vraies-fausses pistes, tout le temps. Inversement des flux, piratage des lignes officielles du Parti Confortable. Dégradation hargneuse des clichés.
Quelle énergie régnait alors pour que surgissent ces 12 offrandes à un hardcore rêvé ? Car les kicks enroulés et ces séquences succubesques rejouent le jeu du fil du rasoir, ou quand les années n’altèrent pas la fraîcheur de compositions pourtant réécoutées X dizaines de fois depuis leurs sorties. Oh, évidemment, tout cela trimbale son quota de mythes et d’utopies (on croyait que le monde en tremblerait plus qu’il ne le fît) et cela altère le jugement. Mais justement : le hardcore français, en ce temps-là, pouvait être dérangeant, et c’est ça qui était bon. La preuve avec « Digne », « Halloween », « Faf », « Davakint », « Clear », « If », « Neutron », « Escape », « Ovoïde », « Oxyde », « Andropose », « Go Out ».
Mouse sort toujours des disques et tourne encore - un peu. Qu’on l’écrive sur des banderolles et qu’on les accroche à la queue des comètes sur lesquelles les poseuses de salon tirent des plans.

Dronnzz

rien que ça? :lol: :lol: :lol:

Oui et le cd est à 10 neurones maintenant ce qui tu l'as compris vaut grave le coup, du coup!